RÉVÉLATIONS EXPLOSIVES SUR LA GENDARMERIE - L’Etat adopte la stratégie du “motus et bouche cousue”
Le tsunami causé par le brûlot du Colonel Abdoulaye Aziz Ndaw n’a pas semblé affecter le palais de la République, où s’est tenu, hier, le conseil des ministres. Selon nos sources, le scandale révélé par l’ancien Haut commandant en second de la gendarmerie n’a pas été évoqué par le Président Macky Sall, son nouveau Premier ministre, Mahammed Dionne ou ses ministres. Motus et bouche cousue. C’est comme si rien ne s’était passé, alors que le pays ne bruit que des révélations contenues dans ce livre et déflorées pour l’essentiel par EnQuête. Selon nos sources, cela découle d’une stratégie savamment déroulée qui consiste à dédramatiser par le silence, pour éviter que l’affaire n’enfle jusqu’à certaines proportions. EnQuête s’est rapproché des canaux officiels de communication de la gendarmerie, pour recueillir une réponse officielle. Réponse : “No comment”. C’est visiblement la consigne donnée un peu partout.
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La Une d'Enquêteplus - Révélations du colonel Ndaw, silence d’État
VIDÉO Un policier frappe une femme et scandalise les Etats-Unis
Une arrestation particulièrement brutale. Un automobiliste a filmé depuis sa voiture, un policier américain en train de frapper une femme à terre, mardi 1er juillet, au bord d'une autoroute de Los Angeles, en Californie. La chaîne de télévision américaine CBS s'est procurée cette vidéo, réalisée à l'aide d'un téléphone portable.
Une enquête ouverte
La Une du Populaire – Malal Talla de « Y en marre » met les pieds dans le plat Fou rend malade la police
Tentative de suicide
Hier, un drame a été évité de justesse dans les locaux du célèbre centre d’appel Pcci, sis à Mermoz. En effet, un employé de la boîte a tenté de se suicider en se tailladant les veines du bras. Le jeune homme venait d’être renvoyé lorsqu’il a tenté de mettre fin à ses jours dans les locaux même de Pcci. Mais fort heureusement, il n’a pas succombé. Selon nos capteurs, tout est parti d’une altercation que le jeune homme aurait eue avec un de ses employeurs. Piqué au vif, son supérieur a alors décidé de résilier son contrat et donc de le mettre à la porte. La victime, un père de famille, au moment de passer à l’acte, avait auparavant promis à ses employeurs qu’ils iront tous en enfer. Nous y reviendrons plus en détails.
BIENS MAL ACQUIS - La justice française classe sans suite la plainte de l’Etat : Karim lavé sur Seine
Selon les avocats de Karim Wade, qui organisaient hier une conférence de presse à Paris, la plainte déposée contre celui-ci par l’Etat du Sénégal pour «enrichissement illicite», le 30 novembre 2012, a été classée sans suite le 19 mai dernier par la justice française. Comme le précise le document officiel signé par le greffe du procureur du Parquet financier de Paris, que Jeune Afrique a pu consulter, cette décision judiciaire est motivée par une «infraction insuffisamment caractérisée».
LA une de L'AS : Acte 3 de la décentralisation, crise universitaire, relation pouvoir-opposition : Ndéné se défoule sur Macky Sall
Ucad
C’est aujourd’hui que les 22 étudiants de l’Ucad feront face aux juges. Ils sont poursuivis pour destruction de biens publics suite aux échauffourées entre eux et les forces de l’ordre, en milieu de semaine dernière. D’ores et déjà, les étudiants sont en train de se préparer pour «envahir» le tribunal. En effet, ils comptent se rendre en masse au tribunal pour soutenir leurs camarades. Certains ont même proposé d’organiser une marche de l’université au temple de Thémis pour montrer à leurs camarades leur solidarité.
Me Aïssata Tall Sall parle
UCAD-VIOLENCE SUR LE CAMPUS SOCIAL Macky joue la carte de la fermeté
Les étudiants qui sont à l’origine des actes de violence sur le campus social devront rendre des comptes et le ministre de l’Enseignement supérieur et celui de l’Intérieur sont invités à faire appliquer la loi en la matière. C’est ce ton de fermeté que le président de la République, Macky Sall a adopté hier, en réunion du Conseil des ministres, en évoquant la situation qui prévaut actuellement sur le campus universitaire de Dakar.
Sénégal - Liste non paritaire de la capitale du Mouridisme, l’État doit-il signer un concordat avec Touba ? Attention au syndrome Boko Haram au Nigeria !
SENETOILE NEWS a le plaisir de vous présenter la Une de l'hebdomadaire Le Témoin N°1166 du Jeudi 22 au mercredi 28 mai 2014.
Prix 300 francs CFA
Les autorités banalisent l’arrestation de Ibrahima Dieng : La boulette de la police
Après l’affaire Keïta, l’arrestation de Ibrahima Dieng doit permettre de pousser la réflexion sur l’implication de certains agents de police dans le trafic de drogue. A chaque fois, l’Ocrtis se retrouve au cœur du scandale.
Gravissime. L’arrestation d’un agent de l’Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis) ramène la Police nationale au cœur d’un scandale. L’arrestation de Ibrahima Dieng jette une lumière blafarde sur l’implication de certains agents de police dans le trafic de drogue. Mais les réactions des autorités montrent qu’il y a encore des résistances à vaincre pour vider ce débat qui vicie l’ambiance au sein de la police.
AFFAIRE DE LA DROGUE DANS LA POLICE
Le Commissaire Keïta n’en a pas fini avec cette affaire qui lui a valu la radiation Ancien directeur de l’Ocrtis aujourd’hui radié de la police nationale, le commissaire Cheikhna Cheikh Sadbou Keïta pense que personne ne peut être exclu de sa responsabilité dans la «gestion légère et scandaleuse» de l’affaire dite de la drogue dans la police : du sommet à la base en passant par les intermédiaires. Point de vue exprimé, hier, lors de l’émission Opinion sur Walf Tv.
Le président de la République Macky Sall, le Premier ministre et l’ancien ministre de l’Intérieur, Pathé Seck, ont une responsabilité dans cette histoire baptisée «affaire de la drogue dans la police».
La gendarmerie saisit 300 kilos de drogue aux Parcelles assainies
300 kilos de chanvre indien ont été saisis par la gendarmerie nationale à la suite d’une enquête époustouflante qui a conduit à l’arrestation d’un des plus gros trafiquants de la capitale.
Selon Libération qui donne l’information, le coup a été signé par la Section de Recherche de Dakar qui a mis un frein à ce vaste trafic de drogue par voie maritime. La « marchandise » a été déchargée par pirogue à Mbao et acheminée aux Parcelles par deux 4X4 transformés pour mieux camoufler la drogue, informe le même quotidien. D’ailleurs, les deux véhicules ont été saisis par les gendarmes qui sont en train d’approfondir leurs investigations.