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Mer, Mai
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Le leader de « Rewmi », Idrissa Seck, à l’issue du vote du budget du conseil départemental de Thiès, a évoqué avec la presse ses sorties contre Macky Sall. Selon l’ancien Premier ministre, lui et l’opposition ont un rôle qui est de veiller à dire leur pensée sur la situation. 
«  Vous appelez cela critique, quand je dis à la place de l’émergence et du " Yokkuté ", nous constatons la pauvreté et le " Ndool " », s’étonnera t-il en réponse à la question posée par un journaliste. 
 Le Pr du conseil départemental de Thiès de poursuivre en notant : « est-ce que vous pensez que lorsque le FMI dit que le Sénégal fait partie des 25 pays les plus pauvres du monde c’est de la méchanceté ? Que le Pnud dit que pour l’indice de développement humain, le Sénégal est passé de la 118 ème à la 170 ème place c’est de la méchanceté? » 
« Non, on fait un constat! » dira M. Seck. « Mon vœux le plus ardent pour le bien des sénégalais aurait été de constater que le Président a pris la mesure de la situation, décide de changer de cap et d’accélérer la cadence et dans la bonne direction. » 
 « Vous pensez que cela nous fait plaisir d’entendre des partenaires du Sénégal s’inquiéter de l’atmosphère qui prévaut avec des journalistes interpellés a la DIC, des opposants arrêtés et une justice manipulée. Des images qui écornent l’image de la démocratie », martèlera t-il. 
Selon Idrissa Seck, son souhait est que le Sénégal progresse, change de cap et que les conditions de vie des sénégalais s’améliorent. Et lorsque le constat sera fait « nous le dirons dans les même termes », fera-t-il savoir 

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C’est un Macky Sall d’attaque qui a profité de l’université républicaine tenue au cours du week-end, à Saly-Portudal, pour clamer haut et fort ses quatre vérités sur les grandes questions qui agitent le champ politique sénégalais. Sans prendre de gants, le chef de file de l’Apr et chef de l’Etat a tour à tour dézingué l’opposition, apporté son éclairage sur la tenue du référendum et la réduction de son mandat de sept à cinq ans, avant de clarifier le jeu quant à la candidature à la présidentielle au sein de la coalition Bennoo Bokk Yaakaar (mouvance présidentielle).

Publié dans La Une de la Presse

Le président de Rewmi, Idrissa Seck, n’a pas été tendre avec les dignitaires du régime en place. Après Macky Sall qu’il a traité d’incapable, il s’en est pris aux journalistes de l’entourage du Président Sall qui ont produit des livres louangeurs ces dernier temps. "A longueur d’années, on nous tympanise avec la bonne gouvernance et une gestion sobre alors que son magistère est truffé de scandales… Les plumes les plus affûtées de ce pays ont été transformées en dames de compagnie du couple présidentiel", a dit Idrissa Seck en marge de sa visite à Touba. 

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Comme ont fait plusieurs leaders politiques du Sénégal, Idrissa Seck a lui aussi sacrifié au rituel d’avant magal. Il est venu s’entretenir avec le Khalife Général des Mourides Serigne Sidi Mokhtar Mbacké. Le saint homme a reçu le Rewmiste en chef dans sa résidence de Gouye-Mbinde. À sa sortie de son tête-à-tête, le responsable politique a d’abord rappelé qu’il est venu célébrer le magal avec l’ensemble de la communauté. 

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La question de la dissolution de l’Assemblée nationale, qui fait suite au problème lié à la constitution du groupe parlementaire des «Libéraux et Démocrates» est de plus en plus agitée. A l’instar de bon nombre d’hommes politiques, ainsi que de personnalités de la société civile, un Observatoire citoyen pour la défense des Institutions (Ocdi), regroupant des citoyens sénégalais de tout bord, a lancé hier, vendredi 13 novembre, une pétition nationale et internationale, dénommée «Sauvons notre Assemblée». Awa Abdoul Ba, membre dudit observatoire, et compagnie réclament la tête de Moustapha Niasse, ainsi que la dissolution de la 12ème législature.

Publié dans La Une de la Presse
dimanche, 11 octobre 2015 00:00

Les exigences de Me Wade à ses «généraux»

De Versailles (Paris) où il se trouve, depuis plusieurs semaines, Me Abdoulaye Wade suit de très près le fonctionnement de sa formation politique. Mais, avec sa casquette de Secrétaire général du Pds, il a montré la voie à ses collaborateurs. Ainsi pour la reprise des activités de sa formation politique, il a formulé cinq (5) exigences à accomplir par ses différents généraux. Il s’agit de mettre « profondément » l’accent sur la marche du Pds. À ce propos, confient des sources de Libération, dans l’édition de ce samedi 10 octobre 2015, « Wade, bien qu’appréciant le travail qu’abattent certains responsables, est loin d’être satisfait ». Il veut que les responsables libéraux mouillent mieux le maillot.

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   Les trois nouveaux membres de la Commission électorale nationale autonome (Cena) ont prêté serment hier, lundi 31 août, devant le Conseil constitutionnel. C’était lors d’une cérémonie organisée dans la salle d’audience de la Cour suprême. Le Président du Conseil constitutionnel Pape Oumar Sakho a invité les trois nouveaux adhérents de la Cena à faire «preuve de rigueur et à veiller au respect du Code électoral, durant l’exercice de leurs fonctions».  

Nommés par décret présidentiel, le 2 juillet dernier, les trois nouveaux membres de la Commission électorale nationale autonome (Cena) ont prêté hier, lundi 31 aout, serment devant le Conseil constitutionnel. La cérémonie a eu lieu dans la salle d’audience de la Cour suprême en présence des parents et proches. 
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Oumar Sarr

iGFM – (Dakar) Le coordonnateur national du Pds reste toujours scotché à la décision prise par le Comité Directeur du Pds qui a choisi Karim Wade, en dépit de son incarcération, comme seul et unique candidat du Pds, à la prochaine présidentielle. Ce jeudi, alors qu’il participait en tant qu’invité, à la conférence de presse du mouvement AssKaw (Actions de solidarité et de soutien à Karim Wade), il a réitéré cette position.

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Djibo Ka a décidé de répondre à l’appel de Macky Sall. Pourtant, en mai 2012, il préconisait une loi pour arrêter la transhumance. C’est un passé récent. Très récent.

Ça y est ! Il est parti. Djibo Leyti Ka a rejoint le Président Macky Sall, selon L’Observateur, dans son édition d’hier. Il y en a qui auraient retourné leur veste, on y aurait vu aucune surprise. Même si le Rénovateur en chef n’est pas à son premier coup. Il n’est pas question ici de rappeler encore le fameux épisode du 14 mars 2000. Qui mieux que lui d’ailleurs pour être le paladin de l’éthique et du verrouillage de la transhumance aussi bien parlementaire que dans les partis politiques ? Dans un passé très présent et récent, le secrétaire général de l’Union pour le renouveau démocratique (Urd) avait sorti un single qui avait pourtant fait le buzz dans les réseaux politiques. En mai 2012, au lendemain donc de l’alternance du 25 mars et à la veille des Législatives du 1er juillet de la même année, il propose des sanctions contre les transhumants.

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Sénégal  En enrôlant l’ancien ministre d’Etat, Djibo Leyti Kâ, patron de l’Urd, dans la mouvance présidentielle, le chef de l’Etat Macky Sall cherche à affaiblir le camp d’en face, à défaut de trouver des gens qui peuvent lui apporter grand chose. De l’avis des analystes politiques interpellés sur la question, notamment Ibrahima Bakhoum, journaliste formateur à l’Issic, et Momar Seyni Ndiaye, ancien journaliste formateur, l’image de Djibo Kâ, ministre et homme d’Etat, peut servir à Macky, mais pas pour des logiques politiques électoralistes. Qui plus est, le patron de l’Urd est complètement affaibli en termes de poids électoral, selon eux.     

Publié dans La Une de la Presse