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08
Mer, Mai
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Afficher les éléments par tag : présidentielle 2017

Petit à petit, la… guerre fait son nid entre Tanor et Khalifa Sall. A l’évidence, il y a deux camps qui s’affrontent pour la candidature socialiste et pour le candidat qui doit affronter Macky Sall.

Difficile de voir clair dans ce qui se passe au Parti socialiste. Un temps, avant le congrès, et la préférence affichée de Khalifa Sall pour Tanor qui affrontait Aïssata Tall Sall, on ne pouvait plus croire à une «dualité au sommet» entre le secrétaire général et le secrétaire à la Vie politique. Aujourd’hui, et au lendemain des Locales qui ont légitimé le leadership du maire de Dakar avec sa coalition Taxawu Dakar qui règne dans la capitale presque sans partage, on constate cette adversité entre les deux. Bien sûr menée par des seconds couteaux. 

Publié dans News

Sénégal   Et si Macky Sall décidait de revenir sur son engagement et d’aller jusqu’au bout de son mandat  devant, en principe, se terminer en 2019 ? Voilà une question qui n’est pas à écarter du champ des possibles, à  l’heure où la question de la réduction du mandat présidentiel semble passer par tous les états. Si « wax waxeet » il y avait, à quel scénario politique Macky Sall pourrait-il s’attendre, en vérité? Devrait-il prolonger le mandat des députés qui s’achève en 2017 ou non ? Pourrait-on aller vers un couplage des élections  législatives et de la présidentielle en 2019 ou non ?  

Publié dans La Une de la Presse

Les libéraux n'en démordent pas : il y a un processus de fraude électorale bien huilé en cours. Le chargé des élections du Parti démocratique sénégalais vient de jeter un autre pavé dans la mare du camp présidentiel. Dans l'émission Sen Jotaay de la Sen Tv, Sada Ndiaye a fait une grande révélation sur les manœuvres des apéristes pour remporter la prochaine élection présidentielle.

Publié dans News

Le Parti socialiste (Ps) est bel est bien comptable et responsable du bilan du Président Macky Sall, car étant partie prenante des réflexions qui ont abouti à l’élaboration du Plan Sénégal émergeant (Pse). Qui plus est, «que ce soit du point de vue économique, social, de la gouvernance et de la diplomatie, le Sénégal a réalisé des bonds de géant». Telle est la conviction de Maël Thiam, administrateur de l’Alliance pour la République (Apr) qui estime par ailleurs que le candidat naturel du Ps est bien Macky Sall.  

Les «Verts de Colobane» sont tout autant comptables que responsables du Bilan de Macky Sall et de son gouvernement. Pour cause, le Parti socialiste (Ps) est impliqué dans la gouvernance du pays, tel que prônée par la coalition Bennoo Bokk Yaakaar (Bby), depuis la deuxième alternance survenue en 2012. Telle est la réponse servie par Maël Thiam, administrateur de l’Alliance pour la République (Apr), à Abdoulaye Wilane (porte-parole du Ps) et Khalifa Sall (maire socialiste de Dakar). 
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Sénégal   Amadou Tidiane Wone, le Directeur de Cabinet du Président sortant Wade est formel.  L’ancien chef de l’Etat et secrétaire général national du Pds ne sera pas le candidat de son parti en 2017, contrairement aux assertions de Souleymane Ndéné Ndiaye qui affirmait avant-hier, jeudi, que Me Wade était le Plan B des libéraux, avec l’emprisonnement de Karim Wade.  

La réplique aux allégations de l’ancien Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye certifiant que  Me Wade sera le candidat du  Pds en 2017 n’a pas tardé du côté des libéraux. Et c’est Amadou Tidiane Wone, le Directeur de Cabinet du Président sortant qui a tenu à apporter la mesure au dernier chef de gouvernement du régime libéral. 
Publié dans La Une de la Presse

Sénégal   A moins de 20 mois de la présidentielle de 2017, le paysage politique sénégalais bruit de toutes ses forces avec des prétendants au fauteuil présidentiel déterminés à bouter hors du palais l’actuel locataire, en l’occurrence Macky Sall. Et même si tous les masques ne sont pas apparemment tombés, certaines candidatures peinent de plus en plus à cheminer dans l’ombre. En face de Macky Sall qui cherche à briguer un second mandat à la tête de l’Etat sénégalais, un trio de quinquas semble émerger progressivement, sous la houlette d’Idrissa Seck de Rewmi qui s’évertue, avec ses tournées nationales et sa rhétorique anti-Macky, à ré-oxygéner une opposition en mal de repères, dans sa conquête du pouvoir. 

Publié dans La Une de la Presse

Sénégal

Plus de 250 partis légalement constitués pour moins de 13 millions de citoyens et seulement 05 millions d’électeurs : la prolifération des formations politiques a fini de relever le paradoxe du modèle démocratique sénégalais, même si cette profusion est loin d’être atypique dans le continent africain. Pis, ces partis presque tous dits «télécentres» continuent de pousser comme des champignons sur la base de motivations souvent nébuleuses, en gangrénant la vie politique et en transformant le paysage en une sorte de jungle politique où les pratiques occultes de financement se discutent la palme aux manœuvres sournoises de fusion, de ralliement, voire de dissolution avec les grands leaders politiques. 
Publié dans La Une de la Presse

Sénégal   Me Oumar Youm, ministre de la Gouvernance locale et par ailleurs porte-parole du gouvernement est formel. La consolidation de la coalition présidentielle Bby nécessite que ses différents leaders sachent raison garder dans leurs appréciations critiques de l’action du régime et du Président Macky Sall. Lequel les a fournis en postes de responsabilités, au point de se priver d’une majorité qualifiée au niveau de l’Assemblée nationale, du Cese, voire dans le gouvernement. Pour autant, a dit Me Youm qui était l’invité d’Objection de Sud Fm hier, dimanche 03 mai, «c’est aux membres de Bby de mériter la confiance du chef de l’Etat» en s’employant à asseoir davantage la coalition présidentielle et adopter de la retenue dans certaines de leurs déclarations qui pourraient prêter à confusion.  

Publié dans La Une de la Presse

Sénégal   Les invectives de part et d’autres des partis alliés dans le cadre de la coalition Benno Bokk Yakaar (Bby), notamment le Parti socialiste (Ps) et l’Alliance pour la République (Apr), montrent à satiété que le compagnonnage des deux formations politiques ne tient que sur un petit bout de fil. Même si le chef de l’Etat, Macky Sall, soutient que ladite coalition se porte bien, il n’en demeure pas moins que les sorties tout azimut et les divergences de positions de certains leaders de ces partis sur la transhumance, le respect de l’engagement de Macky sur la réduction du mandat, tout comme l’emprunt obligataire bloqué, sans oublier la candidature à l’élection  présidentielle prochaine, laissent entrevoir un divorce inéluctable sous peu.  

Publié dans La Une de la Presse

Selon Abdou Mbow…
 Prenant part à la rencontre des jeunesses républicaines en sa qualité de Coordonnateur national sortant, Abdou Mbow a incité ses camarades de la Cojer à mouiller le maillot pour que SMS puisse être réélu dès le 1er tour. «Ce qui nous attend est plus difficile. Le président le dit souvent : 2ème tour ‘jigul’ (ne réussit pas au) président. C’est ça la réalité. Nous sommes au (Sunugaal) et pour être élu, il faudrait avoir une jeunesse forte, une jeunesse engagée et une jeunesse debout, parce que 70% de la population a moins de 35 ans. Et aujourd’hui, on doit travailler à inscrire le maximum d’électeurs», a dit Abdou Mbow, porte-parole adjoint de l’Apr.

Publié dans La Une de la Presse