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Le 22 juillet 1994, le jeune officier Yahya Jammeh renverse dans un calme assourdissant le père de l'indépendance gambienne. C'est l'aube d'un régime ubuesque. 

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Elle se faisait appeler "Toutencombrant Ier". La momie d’une petite fille égyptienne née quelques siècles avant Jésus-Christ  a échappé de peu à la poubelle. Alors qu’elle se retrouve mystérieusement dans une collecte d’objets encombrants à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) en 2001, des employés de la voirie ont l’heureux réflexe de contacter le musée local. Celui-ci confirme rapidement qu’il s’agit d’une authentique momie dans son cercueil, haut de 92 cm. Elle est aujourd’hui en cours de restauration et a récupéré son véritable nom Ta-Iset, inscrit sur le cartonnage qui la protège. Désormais propriété de la ville de Rueil-Malmaison, elle sera exposée début 2016 dans le musée  de la ville.

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Sénégal   Comment parler de la Conférence de Berlin autrement que sous la forme… d’une conférence qui, 130 ans après la délimitation des frontières de l’Afrique, se demande ce qu’il en reste et ce que celle-ci implique encore aujourd’hui comme enjeux. Autour de la table installée ce jeudi 26 février dans une des salles du Goethe-Institut, l’historien Ndiouga Adrien Benga, l’écrivain Boubacar Boris Diop et les journalistes Abdoulaye Bamba Diallo et Fadel Barro. Avec dans le rôle de l’animateur le président de la Fondation du mémorial de la traite des noirs, Karfa Sira Diallo. Dans le public, des universitaires, des intellectuels, des étudiants, des panafricanistes convaincus pour qui l’Afrique doit se prendre en main.  

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L’OBS – Les événements du 16 février 1994 soldés par la mort de six policiers ont marqué l’histoire du pays. Au moment où, dans le pays, les invectives prennent le pas sur la raison. L’Observateur a replongé dans l’ambiance d’une tragédie qui interpelle les consciences.

L’histoire tient en quelques lignes noires. C’était un mercredi matin, Dakar s’était levée avec une gueule de révolutionnaires prêts à l’affrontement. Comme une vague déchainée, des Moustarchidines, habillés en blanc et prêts pour le Djihad contre le régime de Abdou Diouf, montent dans leurs grands chevaux pour arpenter les grandes artères de Dakar. L’affrontement avec les policiers qui ont, dès les premières heures de la matinée, investi les coins et recoins du centre-ville est inéluctable. Un coup d’œil dans le rétroviseur de cette époque-là laisse apparaître une situation sombre de l’histoire du pays.

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lundi, 08 décembre 2014 00:00

Démission du juge Keba Mbaye raison officielle

sports

Mars 1993 ! Kéba Mbaye démissionne de la présidence du Conseil Constitutionnel. Mme Andresia Vaz esquive les travaux de la Commission nationale de recensement des votes. La charpente judiciaire et institutionnelle du pays, ultime recours d’un contentieux électoral mal contenu, a réellement vacillé en cette journée mémorable du mardi 3 mars 1993.  Alors que Youssou Ndiaye d’une part et Malick Sow de l’autre, entrent en scène pour suppléer définitivement et temporairement M. Mbaye et Mme Vaz, le Sénégal suit de toutes les interrogations. «Sud quotidien» revient dans son édition du jour, sur les événements qui ont marqué la politique et la justice de notre pays, récemment revisités par le président d’alors, Abdou Diouf dans son livre «Mémoires». 
Publié dans La Une de la Presse

Le 15 septembre 1957, 23 fils d’Afrique rédigèrent et signèrent ensemble à Thiès le manifeste fondateur du Parti africain de l’indépendance (Pai). Les amis du Pai se sont retrouvés lundi à Douta Seck pour le point d’orgue de ces festivités. Auparavant, ils avaient organisé samedi à la Fondation Rosa Luxembourg une réflexion sur le marxisme, libéralisme et religion : espace de rencontres, espace de rupture.

A défaut d’avoir conquis le pouvoir et transformé la société, les signataires du Manifeste de 1957 comptent leurs disparus. Aujour­d’hui, ils ne sont plus que trois survivants. En eux, est conservée la mémoire vivace d’une génération dont Rufisque était l’épicentre d’une formation aux idées marxistes de transformation sociale de l’ordre établi par le colonialisme français. C’est là-bas, selon Bécaye Diop qui se considère comme un enfant du Pai (Parti africain pour l’indépendance), que ce vivier de jeunes esprits constitués par l’Union culturelle musulmane (Ucm) et les Jeunesses ouvrières catholiques (Joc) a garni les rangs de ce qui allait devenir le Pai dirigé par Majmouth Diop. 

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L’OBS – A 86 ans, Maguette Bâ «Ben Cheikh», journaliste au quotidien «Le Soleil», l’un des pionniers de la presse sénégalaise, est toujours actif et continue d’exercer son métier comme reporter à Thiès. L’homme est témoin de plusieurs faits historiques qui ont marqué le Sénégal…

«Je fais partie de la 1ère génération de journalistes. Aujourd’hui, malgré mes 86 ans, je continue à exercer et je ne compte pas m’arrêter en si bon chemin. Je suis originaire de Saint-Louis. Mon nom à l’Etat civil est Maguette Bâ, mais mon pseudonyme dans la presse est Ben Cheikh. 

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iGFM – (Dakar) Une rude bataille est engagée par la défense de Karim Wade pour débouter la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) qu’ils considèrent étrangère au corpus du pouvoir judiciaire parce que ne figurant nulle part dans la Constitution jusqu’à la dernière révision de 2001. Entre ceux qui soutiennent qu’elle a été abrogée et d’autres, le contraire, une constante reste, la CREI a été créée par l’exécution de la Loi 81-53 du 10 juillet 1981 comme loi d’Etat sur présentation en tant que telle par le Président Abdou Diouf et le Premier ministre Habib Thiam, le 10 juin 1981 et portée dans le Journal officiel du vendredi 24 juillet 1981. iGFM partage cette loi rendue publique par le Journal officiel paru le samedi 25 juillet 1981.

 

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Le ministère des Affaires étrangères organise un colloque sur les soldats des colonies durant la Grande Guerre. L'historien américain Richard S. Fogarty s'est notamment interrogé sur le racisme et le traitement de ces troupes par l'armée française.

Depuis le début de ses études, l’historien américain Richard S. Fogarty s’intéresse à la France et à sa place dans la Première Guerre mondiale. Au cours de son doctorat consacré à cette période, ce professeur de l’Université d’Albany, dans l’État de New York, a été particulièrement surpris par un chiffre. "J’ai découvert dans un article que la France avait utilisé 500 000 soldats de ses colonies pour combattre en Europe durant la Guerre. Je n’en avais jamais entendu parler auparavant", explique-t-il à FRANCE 24. "Cela m’a semblé très surprenant, car je savais que la France avait une longue histoire coloniale dans laquelle les races et le racisme ont joué un rôle très compliqué. J'ai aussi pensé que l'expérience française offrait un contraste par rapport à l'armée américaine, qui était strictement ségrégationniste à l'époque, tout comme la société".

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Dékheulé porte les traces du déshonneur que la Nation a réservé à Lat Dior, un de ses héros nationaux. L’ancien roi du Cayor tombé sous les balles des colons français voit sa mémoire se perdre dans la nature. Son mausolée est mal entretenu et dévalorisé malgré la potentialité touristique qu’il offre. Pour le constater, il faut pouvoir y accéder. Il faudra s’engouffrer dans une piste qui n’existe que de nom.

L’usure  a eu raison des stigmates de la bataille de Dékheulé. La savane à même de cacher l’ennemi  fait place à une flore clairsemée.  Tout autour du monument, les acacias résistent à l’érosion. Y accéder relève d’un exercice délicat. Tellement la soi-disant piste est cabossée.

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