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Oumar Guèye balaye en touche et rassure

Sénégal

L'OBS - Le ministre des Transports aériens et du Tourisme a refusé de reconnaître les problèmes de sécurité qui gangrènent l’aéroport international Léopold Sedar Senghor. C’était à l’occasion de la conférence régionale sur l’aviation autour du thème : «La sûreté intelligente face à la menace».

 Le ministre des Transports aériens et du Tourisme, Oumar Guèye, a donné des assurances quant à la sécurité et à la sûreté de l’Aéroport international Léopold Sedar Senghor. Il le classe parmi les plus sûrs au monde. 

 

«L’Aéroport Léopold Sédar Senghor fait partie des aéroports les plus sûrs, mais cent pour cent de sécurité, c’est difficile à atteindre. C’est un aéroport sûr, avec toutes les normes de sécurité et de sûreté requises au niveau international. Il y a un dispositif opérationnel tous les jours à l’Aéroport international Léopold Sedar Senghor», a assuré Oumar Guèye lors de la conférence régionale sur l’aviation sur le thème : «Sûreté intelligente face à la menace», qui se tient à Dakar. Pourtant, en moins d’un mois, deux incidents majeurs ont été signalés. «Effectivement, il y a eu des personnes qui sont passées par cet aéroport pour se rendre aux Etats-Unis. Mais je peux vous certifier que toutes les dispositions sont prises maintenant pour que cela ne se reproduise pas», déclare-t-il. Par rapport à cet incident, il a été dit dans la presse que les Etats-Unis ont indexé le Sénégal. Ce que refuse d’admettre le ministre des Transports aériens.  «Les Etats-Unis n’ont jamais indexé l’aéroport du Sénégal. Mais quand il y a un incident, effectivement, il y a un traitement qui est fait pour situer les responsabilités», a nié Oumar Guèye. Désormais, le ministre a assuré que toutes les menaces doivent être prises en compte pour éviter la surprise. «Évidemment, personne ne peut être à l’abri d’une éventuelle tentative. Le Sénégal a pris toutes les dispositions pour améliorer la sécurité et la sûreté dans les aérodromes et aéroports. Nous sommes obligés de prendre en compte les nouvelles menaces. Nous faisons confiance à nos forces de sécurité et de sûreté au niveau de nos aéroports», a indiqué le ministre. Pour plus d’efficacité dans l’amélioration des conditions de sécurité et de sûreté des aéroports, Oumar Guèye plaide pour un échange d’informations.

 

 

L’Aviation africaine au stade de la prise d’élan

Ça ne décolle pas (encore) pour l’aviation africaine. «La sécurité et la sûreté sont des défis majeurs et constituent les principaux points noirs de l’aviation en Afrique, avec un taux d’accidents deux fois supérieurs à la moyenne mondiale. L’absence de libéralisation est la source de tous les problèmes de l’aviation africaine et elle a des effets préjudiciables sur la sécurité, les redevances et la croissance du trafic», a indiqué Pascal Komla, président du Conseil international des aéroports (Aci-Afrique) à l’ouverture de la conférence régionale sur l’Aviation autour du thème : «La sûreté intelligente face à la menace», hier. Parmi les entraves à l’aviation africaine, le patron de l’Aci-Afrique relève aussi le niveau de sécurité, l’état des infrastructures et le niveau élevé des coûts opérationnels et la tendance au protectionnisme des Etats. Pourtant, malgré toutes ces entraves, le secteur de l’aviation civile africaine représente 6,7 millions d’emplois dans le continent et 67,8 milliards de dollars en termes de PIB, selon une étude de l’Air transport aviation group (Atag). A l’horizon 2020, l’Afrique projette d’avoir 260 millions de passagers. Mais dans ces conditions, cela semble relever d’une gageure. «Nous sommes conscients que pour gérer ce trafic, nous devons avoir des aéroports sûrs, efficaces et d’une qualité de service en conformité avec les normes internationales. Les aéroports africains doivent avoir des compétences, des ressources humaines et le matériel nécessaire», a-t-il prévenu. Des efforts sont consentis, mais ils restent «inefficaces en l’absence d’une étroite collaboration et d’une feuille de route réaliste contenant un plan d’actions global».
Pour ce faire, un programme de formation à trois niveaux répondant aux besoins des aéroports africains est mis en place par l’Aci-Afrique.

CHIMERE JUNIOR LOPY

source: http://www.gfm.sn/actualites/item/13364-oumar-gueye-balaye-en-touche-et-rassure.html
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